Xiaomi a salué la décision d'un juge américain de suspendre temporairement son inscription sur une liste noire américaine. Cela vient après que la société a poursuivi les États-Unis sur la décision.

Le juge fédéral américain Contreras a statué en faveur de Xiaomi d'arrêter son placement sur la liste. Contreras pensait que la décision du département américain de la Défense était "arbitraire et capricieuse". Alors que la décision n'a fait qu'interrompre le placement de Xiaomi sur la liste noire, le juge pense également que l'interdiction verra un renversement complet, selon Bloomberg.

Xiaomi aurait été jugée une compagnie militaire communiste chinoise (CCMC) par le département américain de la Défense quelques jours à peine avant le départ de Donald Trump de la Maison Blanche. Le département croit apparemment que l'entreprise partage des liens avec l'armée chinoise. Xiaomi a nié tout lien et a maintenu son indépendance en tant que société cotée en bourse.

Alors que Xiaomi pourrait toujours négocier avec d'autres entreprises américaines si elle était placée sur la liste noire du CCMC, cela obligerait les investisseurs américains à céder leurs participations dans la société. Cela aurait un impact considérable sur les finances de l'entreprise.

La réponse de Xiaomi

Xiaomi a salué la décision dans un déclaration émis le 14 mars.

«L'entreprise estime que les décisions de la désigner comme CCMC sont arbitraires et capricieuses, comme le juge en convient. La société continuera de demander au tribunal de supprimer définitivement la désignation », a déclaré Xiaomi.